La nouvelle appétence pour les actions aurait dû dégonfler un peu la bulle des obligations ...
Si la quantitative easing (ie le fait pour la Banque centrale d’accroître de manière conséquente l’offre de monnaie de manière à stimuler l’économie) a permis de maintenir artificiellement les taux d'interêts américains à un niveau très favorable.
Qu'en serait-il sans elle ?
Ma question est de savoir quand se produira le krach obligataire engendré par la fragilisation du dollar.
Serait-ce quand les 300 milliards d'achats obligataires de la fed prévus par Bernanke toucheront à leur fin ?
Ou avant ?
Keep gold !