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Comment investir dans un marché qui baisse, mais qui, subitement, peut aussi monter Le grand retour des "reverse convertible"
Ceux d’entre vous qui déteniez ce genre de produit en 2008 s’en souviennent et l’ont souvent appris à leurs dépens, la volatilité peut remonter très vite sous l’effet d’une correction boursière.
Le double effet de la baisse des sous-jacents et la montée de la volatilité font baisser le prix de ces produits plus vite que celui des sous-jacents.
Actuellement, le niveau moyen de la volatilité des actions est passé de 15-20% à largement plus de 35%, alors que les actions ont, dans le même temps et en moyenne, baissé de près de 15%.
L’avantage décisif de ces solutions de placement en comparaison des investissements directs en actions, indices ou fonds réside dans le fait que même dans la perspective du scénario très négatif d’une baisse massive supplémentaire des marchés (temporairement au-delà de 40%), le capital garde toutes ses chances d’être remboursé à 100% à l’échéance, cela accompagné de coupons intéressants.La performance relative à l’investissement direct en découlant peut alors être impressionnante.
Mais il est indispensable d’adopter une stratégie active et il peut être bien utile de recourir à un spécialiste.
Real Value Management à Genève a fait des reverse convertibles l’instrument unique d’une stratégie de gestion active, permettant de mieux encadrer les risques et les rendements.
Cyrill Moity, associé et gérant nous confirme que dès le moment où ses positions s'approchent de leurs barrières, il reporte la position sur un horizon plus lointain, afin de maintenir sa marge de sécurité et bénéficier du surcroît de volatilité.
Pour en savoir plus sur Cyrill Moity et Marc-André Pépin:
Grâce à cette méthodologie, même l'année 2008 s'est révélée positive
Pour en savoir plus sur leurs performances par rapport aux meilleurs:
Ceux qui ont su, à la fois, affronter l'ouragan de 2008 et assurer en 2009