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Vous avez aimé les emprunts russes ? Vous adorerez l’emprunt grecPeut-être pensez-vous que j'ai l'air naze ?
Peut-être ...
Mais grâce au FMI, à Angela et Nicolas,
j'ai vraiment deux fois plus de chance de m'en sortir par rapport à ma volonté seule ...
Hélas Hellas, dans ses Conclusions d’investissement du 3 mai 2010, Michel Lagier (Banque Privée Edmond de Rothschild), estime que le mal est fait et qu'il sera difficile à faire oublier aux investisseurs obligataires.
Qui plus est, le risque d'un rééchelonnement, c'est-à-dire d'un défaut technique de la dette grecque, n'a pas complètement disparu.
Avec une pointe d'humour, on peut dire qu'il a été reporté aux calendes grecques.
Si d'ici fin 2012, Athènes n'a pas réussi à assainir de manière structurelle son budget, c'est-à-dire à dégager un surplus budgétaire primaire capable de payer les intérêts de la dette, alors la machine infernale se remettra en marche !
Pour éviter cela, il faudra que l'austérité annoncée soit effective et que les rendements obligataires mondiaux n'aient pas pris l'ascenseur d'ici là ...
Forte hypothèse !
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